
Ce tome se déroule en plusieurs étapes. La première, le grand massacre. La plus grande partie des alliés que Negi et sa troupe se sont fait dans le monde magique se font éliminer un par un à un rythme assez soutenu en début du tome, et de manière systématique sous les yeux des différents héros.
Le top dans le genre et la déléguée qui se fait aligné à travers Yue qui est complètement désemparée ainsi que celle de Rakan qui se fait avoir mais qui a la grande classe jusqu’au bout.
Qui dit disparition tragique, dis pétage de plomb du héros, d’autant plus qu’il est bien versé dans la magie des ténèbres maintenant, et il se transforme ni plus ni moins en un putain de monstre. Les personnages secondaires ont aussi leur heure de gloire, entre les pleurs de Chisame, la révolte de Nodoka, et la colère de Yue, Akamatsu se fout vraiment pas de notre gueule sur ce tome !
Plus en détail, Nodoka est réellement impressionnante. Fate la considérait à juste titre comme la personne la plus dangereuse de l’Ala Alba, et elle confirme cela en faisant face à Dynamis qui avait éclaté Kaede à l’époque, tout en lui soutirant de précieuses informations pour la suite de l’histoire. Pour le coup le magicien s’est fait manipuler en beauté.
Akamatsu nous prévient au début du tome que celui-ci était plus violent que les autres. Et il a bien fait. Setsuna débarque et tranche direct un bras de son adversaire. On peut voir son nouvel artefact, une épée qui peut gagner en puissance via le support de Konoka. C’est assez classe.
On se retrouve ensuite dans une putain d’ambiance de guerre ! Haruna qui manœuvre son vaisseau au milieu des tirs et monstres ennemis, la princesse Theo qui voit ses troupes se faire éliminer. Et Chachamaru qui nous sort juste l’artefact le plus bourrin qu’on a jamais vu dans la série. Crée par Chao, un putain de satellite de bombardement. Et c’est foutrement efficace !
La suite du tome nous distille quelques infos que la façon dont fate s’y prends pour éliminer tout le monde. Le pouvoir du créateur, ces clés qui permettent de réécrire le monde, et la clé unique qui leur permettra de ramener tout le monde. L’objectif est établi.
La seconde parti du tome a moins d’action mais est beaucoup plus interessante. L’impostrice se fait découvrir, nous retrouvons Asuna dans le palais, une Asuna qui se souvient de tout.
Dans son flashback nous apprenons qu’elle est au moins agée d’un siècle, qu’elle est une descendante du mage du commencement, et qu’elle a été utilisée pendant toute ces années pour commettre des massacres, jusqu’à ce que Nagi la sauve.
Nous voyons a nouveau la mort de Gato, mais nous ne connaissons toujours pas ses circonstances. Fate débarque et explique enfin avec précision ses objectifs à la princesse Asuna. Il veut sauver les habitants du monde magique en les envoyant dans le monde parfait, car la terre ne pourrait pas accueillir tout ses habitants.
Quelque chose d’intéressant donc. Le héros, Negi, veut sauver le monde mais n’a aucune solution à proposer, il va droit dans le mur actuellement. Fate veut sauver le monde, et il a sa propre solution.
La fin du tome est consacrée au dernier entrainement de Negi qui commence. S’il ne maitrise pas la Magia Erebea, il mourra, ou deviendra un monstre comme Evangeline. Parviendra-t-il à plier la magie des ténèbres ou deviendra-t-il un démon ?